Sous-traiter Community manager : Le monde du Web

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L’arrivée d’Internet, il y a quelques années, a généré un avant et un après dans les différentes civilisations, principalement parce qu’elle a ouvert la voie à un nouveau moyen de communication entre des personnes qui n’avaient pas forcément besoin d’être dans la même pièce. Par exemple, avec des e-mails, des pages web Web ou des forums. L’interaction entre les personnes a commencé à gagner, petit à petit, de plus en plus de puissance, éliminant – notamment choses – différents limites culturelles ou linguistiques. Une véritable bataille pour le pouvoir qui a motivé beaucoup avancées modernes. Parmi eux, les États-Unis ont créé l’ Advanced Research Projects Agency ( ARPA ) qui, une décennie après, a posé les piliers de ce que l’on appellera Internet, puisque son réseau ARPANET permettait l’échange de références entre institutions. Et comment pourrait-il en être autrement, dans l’histoire précédent, des réseaux sociaux ont aussi émergé, dont la popularité réside fondamentalement dans la possibilité qu’ils offrent aux personnes de communiquer avec les autres, de manière entièrement instantanée, à travers des espaces virtuels, peu importe où ils se trouvent sur la planète.

En tête de notre tableau, Squeezie et ses dix-sept centaines de milliers d’abonnés sur YouTube, trente-quatre centaines de milliers ( la moitié de la population Française ) tous réseaux sociaux confondus. Mais Squeezie, c’est aussi le fondateur de sa propre agence d’influenceurs, Bump et le premier influenceur à avoir ( dans quelques mois ) sa statue au Musée Grévin. Et Squeezie, c’est aussi une intervention en plein cours en distanciel de l’ISCPA, l’école partenaire de ffollozz. Aux côtés de Squeezie, la star des influenceuses, Léna Situations : 8 centaines de milliers d’abonnés tous réseaux confondus, 400 000 types proposés de son livre « Toujours plus » qui fut meilleure vente de livres pendant un mois, première influenceuse Européenne conviée au Met Gala. Et Léna mènera une Masterclass spécifique organisée par ffollozz, la première école du marketing d’influence, le 12 juillet prochain. A la troisième place, l’entreprise McFly

En pleine campagne présidentielle aux USA, il part à la « trouvée des gens » en selon un groupe de 600 électeurs du comté d’Erié dans l’Ohio. Durant cette enquête, il démontre que le vote n’est pas seulement un choix personnel mais qu’il existe des variables liées au… réseau social de l’individu. On découvre que les réseaux amicaux et les milieux familiaux sont globalement homogènes dans leurs choix vues. Pour la première fois sont évoqués les opinion leaders dans une théorie de l’influence interpersonnelle. Leurs modalités seraient une forte sensibilisation aux médias et une capacité de reformulation des missions vues dans les partenariats quotidiens. Ils ont donc d’intermédiaire, de facilitateur, de relais. Un pas est dès lors franchi dans l’étude des réseaux : la communication n’est pas unidirectionnelle et directe vers un récepteur docile, elle est à deux étages et se déroule en deux temps, via des relais d’information ( the two-step flow of communication ). Puis dans Personal Influence proposé en 1955, il en ressortira que les relations interpersonnelles sont supérieures aux réseaux dans les actes de décision. En somme, les théories de la seringue hypodermique et de réseaux ultra-puissants deviennent obsolètes. Les effets des réseaux sont indirects et limités par les possibilités d’évaluation des individus et leur réseau social.

il y a peu d’estimations fiables de la taille de l’industrie des influenceurs. L’une d’entre elles, réalisée en 2020 par le Bureau national des statistiques de Chine, où les influenceurs ont acquis une certaine notoriété plus tôt qu’en Occident, estimait sa contribution à l’économie à 210 000 000 000 de dollars, soit 1, 4 % du PIB. Comme pour tout ce qui touche au numérique, la pandémie s’avère lui avoir donné un coup de fouet, puisque surtout de personnes étaient rivées à leur smartphone pendant une plus grande partie le timing. L’écosystème des influenceurs remet en question les principes traditionnels de la gestion des marques de luxe. En plus d’être unidirectionnelles, les campagnes ont eu tendance à être standardisées, immuables et onéreuses. Un groupe exclusif d’actrices claires dotées de pommettes de la bonne forme était censé signaler la constance, ainsi que l’opulence. Le même rire sur la même photo de la même vedette hollywoodienne devait inciter les piétons à acheter un produit pendant de nombreuses années. Julia Roberts et Natalie Portman sont respectivement depuis une décennie les visages des parfums La Vie est Belle de Lancôme et Miss Dior. Les stars comme les marques ne pensent pas combien d’argent change de mains, mais les sommes se chiffrent en millions de dollars. Selon un rapport, le budget dépensé par LVMH pour la totalité de la campagne Miss Dior s’élève à “moins de 100 millions de dollars” l’année dernière.

Si vous utilisez les social medias uniquement pour pousser de la publicité, de la promotion, des placements de produits ou autres vous ne retirerez pas une grande efficacité des social medias. Cela paraît logique par rapport au principe de base : papoter avec sa communauté. Des publications centrées uniquement sur de la pub / promo vont désintéresser votre audience et vous éloigner d’elle. Cela n’empêche pas de mettre en valeur ses produits et ses aptitudes mais dans un cadre différent de la publicité, avec un angle informatif, d’interaction. Pour faire de la publicité il existe des espaces destinés comme Facebook ads ou Instagram ads. Ils permettent de promouvoir ses produits et ses aptitudes avec des annonces individualisés et sponsorisées. Si vous comparez Instagram et Linkedin arriverez dans deux mondes différents. En effet Instagram a un audimat vaste, il est plutôt orienté B2C, il est basé sur l’image ( bien qu’il ne faille pas négliger le contenu ), alors que Linkedin a une audience plus ciblée “professionnels”, il est orienté btob et nécessite des contenus plus textuels pour communiquer. Certains réseaux peuvent d’avoir des utilisations plutôt passives ou ciblées notamment Twitter, souvent utilisé pour de l’actualité, Linkedin très orienté btob, Instagram sur lequel on va fréquemment suivre des marques, Pinterest pour chercher des visuels ou de l’inspiration, Youtube pour des films et de la vidéo, etc.

Les social medias sont chronophages, ils demandent une attention et une étude permanent. La première erreur que font la plupart des sociétés est de se lancer sur tous les social medias qui comptent, sans les discerner. Mais se lancer sur tous sans définir implique souvent un abandon au bout de quelques mois, voire moins. il est conseillé de bien sélectionner les réseaux sociaux qui comptent pour vous, ceux sur lesquels sont là vos abonnés et les experts de votre secteur. Si votre cible est très peu présente sur Instagram et que votre marque n’a que peu de graphiques, mieux éviter de s’y lancer. Un réseau social a l’abandon va lancer un message négatif à vos abonnés et clients. Les social medias sont l’occasion de communiquer d’une façon plus légère et décalée avec vos abonnés. n’ayez donc aucune hésitation à adopter un ton plus personnel et à lancer des campagnes exceptionnelles, tout en étant dans votre champ d’action. C’est notamment le cas du Louvre qui, en 2016, a non fermé ses portes à 3 YouTubeurs pour faire découvrir de façon originale, nouvelle, et innovante le musée à des générations plus jeunes. Le Louvre s’est associé à des YouTubeurs spécialisés dans le septième art, l’histoire, et d’anecdotes historiques, restant ainsi dans des sélections proches au musée. En alliant nouveauté ( YouTube ) et histoire, le musée s’est offert un coup de jeune : les vidéos furent vues plus d’1. 3 centaines de milliers de fois et a bénéficié de fortes retombées sur les réseaux sociaux et dans la presse.

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