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Mais par quel moyen peut-on être certain que c’est bien la ‘ popularité ‘ qui est à l’origine d’une détérioration de la santé mentale d’une personne connue ? Est-ce qu’une « star » n’aurait pas pu développer un trouble mental même si elle était restée une parfaite information ? Autrement dit, quelques personnes célèbres n’auraient-elle pas des « capacités au malaise » ? Il semblerait que cela soit parfois le cas, à en penser des témoignages d’acteurs comme Catherine Zeta-Jones, Jim Carrey ou ben10 Stiller qui ont fait dernièrement leur coming désuet en présumant qu’ils étaient atteints d’un tourmente bipolaire ( ce sont concrètement des facteurs génétiques qui sont à l’origine de ce harcèle ).
les différents adolescents rêvent-ils de réputation ? Beaucoup, en tout cas, suivant le psychiatre et psy J. -D. Nasio, auteur de Mon corps et ses oeuvres ( Payot, 2007 ) : « Ce désir est dévoilé plus confortablement chez eux, car fréquemment pourvu par la recherche d’identité. Le jeune a besoin de la reconnaissance des autres pour savoir qui il est toujours plus, tandis que les gens mûres n’ont nul besoin d’être reconnues pour se sentir précieux. » La véritable question qui vit est celle du passage à l’acte. « Je ne suis jamais monté sur estrade, mais je suis à présent un sociologue reconnu, qui continue à désirer la réputation, avoue François de Singly. Il y a eu un déplacement. Rêver de renom à 15 ans, c’est peut-être obtenir des possibilités d’être bien connu, potentiellement dans un autre secteur, à 40 ans… »
Entendue en ce sens, la gloire est un produit récent de l’histoire, immédiatement lié à l’explosion des médias et des solutions de diffusion de l’image : ciné, pics, téléviseur, magazines, brochures, Internet… Sans ces moyens-là, la célébrité se confondrait encore avec la « renommée » démoniaque d’une Sarah Bernhardt, ou la « notoriété » d’un meurtrier comme Landru. Les vedettes sont aujourd’hui partout ou presque : musique, ciné, show bien entendu, et aussi sport, aspirations, art, charte, et littérature… La hollywoodienne, l’idole rock and roll, la top style, le gardien de but planétoïde, le téléanimateur drôle, outre certains avantages qui sont ceux de l’aboutissement heureux sociale le plus souvent, partagent en premier lieu un même risque : celui d’être abordé par une quantité encombrant d’adéquats pas connu. Vous ne les connaissez pas, mais eux vous connaissent, ou croient vous connaître, car – comme ma vendeuse – ils ont parfois oublié le nom qui va avec l’épiderme.
Devenir connu est un plaisir à peu près incontournable à le plus jeune âge. Ce phénomène existe depuis longtemps et peut être vu de différents angles. Effectivement, pourquoi les encore adolescents rêvent-ils d’être notoires autrefois ? Voilà la problématique à se poser ! Diverses causes telles une quête d’identité, la matérialisation potentielle d’un rêve et les avantages de ce statu prestigieux répondent à ce problématique. tout d’abord, les très jeunes aspirent à se montrer nettement pour contenter un plaisir qu’ils chérissent, fourni par une recherche d’identité, ou en d’autres mots, par le souhait de se faire recueillir d’une différente manière par les gens qui les entourent. Ainsi, devenir connu propose aisément accès à le plaisir de se refaire une empreinte identitaire et de équiper à cela désir de longue date.
L’arnaque. Le tragédie des personnes célèbres. De Johnny Hallyday à la femme du King, Liza Marie Presley, en passant par Benjamin Castaldi et Isabelle Adjani, nombreuses sont les individus qui ont eu affaire à des escrocs du genre sebastien Madoff ou Christophe Rocancourt. On pense aussi à l’ancien double gymnaste de l’univers de boxe Christophe Tiozzo ou à la skieuse française la plus titrée de la story en Coupe de l’univers, Carole Merle, qui ont laissé leur fortune entre les mains d’arnaqueurs. Par l’intermédiaire de investissements dangereux de la part de «gens de confiance», l’un comme l’autre se sont retrouvés, du jour au lendemain, avec 2 000 000 000 d’euros d’emprunts ( découvrir ci-contre ).
En allant plus loin, les vedettes peuvent de même présenter aux dieux et aux héros de fabliau dans notre inconscient. En disant L’Odyssée il y a moment, j’ai été frappé de voir à quel endroit les dieux du message d’Homère ressemblaient aux vedettes qui peuplent les pages des tabloïds. Narcissiques et glorieux, ils participent à des beuveries endiablées, trompent leurs conjoints, manquent à leur parole et exigent une lascivité en toutes circonstances. Il existe par contre une différence de dimension : si les Grecs craignaient et vénéraient leurs divinités, les guests d’aujourd’hui nous inspirent une cadeau tuerie de insolence. Les célébrités se sont présentées au début du XXe siècle; on peut évaluer qu’elles sont arrivée apaiser un vide laissé par une autre figure, à la même période.
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