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Mais de quelle manière peut-on être certain que c’est bien la ‘ réputation ‘ qui est à l’origine d’une dégradation de la santé mentale d’une personne réputée ? Est-ce qu’une « star » n’aurait pas pu développer un trouble état cérébral même si elle était restée une sublime inédite ? Autrement dit, quelques vedettes n’auraient-elle pas des « possibilités au mal-être » ? Il faut croire que cela soit parfois le cas, à en penser des faits d’acteurs comme Catherine Zeta-Jones, Jim Carrey ou ben Stiller qui ont fait ces temps derniers leur coming démodé en prophétisant qu’ils étaient atteints d’un tourmente bipolaire ( ce sont particulièrement des facteurs génétiques qui sont à l’origine de ce trouble ).
les différents encore jeunes rêvent-ils de notoriété ? Beaucoup, en tout cas, d’après le psychiatre et psychiatre J. -D. Nasio, auteur de Mon corps et ses peintures ( Payot, 2007 ) : « Ce libido apparaît plus confortablement chez eux, car il est souvent soutenu par la recherche d’identité. Le jeune a besoin de la reconnaissance des autres pour savoir qui il est toujours plus, tandis que les gens mûres n’ont nul besoin d’être reconnues pour se sentir indispensables. » La véritable question qui demeure est celle du passage à l’acte. « Je ne suis jamais assemblé sur podium, mais je suis aujourd’hui un sociologue bien connu, qui continue à désirer la réputation, avoue François de Singly. Il y a eu un déplacement. Rêver de notoriété à 15 ans, c’est peut-être avoir des possibilités d’être bien connu, éventuellement dans l’autre domaine, à 40 ans… »
Dans Hello Magazine, en 2008, Jennifer Aniston existait normal « de aller de temps en temps auprès d’un psy pour être en convalescence les pensées en place. » Mais elle se reprenait instantanément en traitant d’elle à la 3 ième personne : « N’écrivez pas que Jennifer Aniston est folle ! » etant donné que tout signe de faillibilité, avouer une excitation état psychologique, ponctuel ou paléographie, ou alors une addiction, entache à peu près en définitive une « bankabilité » et un capital confiance des local hollywoodiens. Pour preuve, la rouage ignoble vécue par robert Downey Jr au bout des années quatre vingt dix et largement relayée par les médias. Cinq années de narcotique, d’arrestations, d’emprisonnements, de thérapeutique et de rechutes à reprise ont banqueroutier transporter d’Iron Man les abysses de Hollywood. C’est à son compagnon Mel Gibson, lui-même coutumier des abus alcoolisés, que la star de Sherlock Holmes doit son salut professionnel. Gibson aura été le premier producteur, à l’année 2003, à admettre de garantir Downey pour son rôle dans The Singing Detective.
N’oublions pas que la gloire, contrairement à la gloire, est née de la rencontre de la démocratisation et de la société d’utilisation. La réputation n’est alors plus un privilège des rois, des aventuriers ou des fautif militaire, présentement tous peut son quart heure de célébrité comme le prophétisait Andy Warhol dans les années 70. Les prochains médias comme internet et les jeux video télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu cette idée extrêmement très grande. Le idéologue Roger Caillois écrivait déjà dans les années 50 quelle valeur le aubaine est présent au cours de la aurore des vedettes et quelle valeur cette ‘ opportunité merveilleuse ‘ était positif au concept même de la célébrité[1]. En effet tous en regardant sa chéri peut rêver et se qualifier : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une entreprise qui marche au mérite, voilà un miracle qui peut toucher semble-t-il le premier venu ; une réussite intimidant qui peut revenir au plus atrabilaire ou au plus pauvre. En cela, la popularité bafoue la position implantée, blessé la fatalité que sa condition fait peser sur tout le monde. La démocratie et la notion de concrétisation de soi sont appartement de l’histoire.
Beaux, riches et notoires. Le tableau inculte ! mais ce n’est pas tout ! Ces stars sont aussi intelligentes. Oui, car nombreuses sont les personnes célèbres d’Hollywood à faire preuve d’une cervelle rare, en plus d’afficher une très belle carrière et un corporel tentant. Non seulement leur carrière atteint des sommets, toutefois leurs diplômes et parcours scolaires feraient rougir d’envie chaque super lucide ! Êtes-vous curieux de savoir quelle valeur de cerveaux se dissimulent derrière les plus beaux physiques d’Hollywood ?
Il estime que certains scénarios «pré-établis», comme les tumulte d’ascension sociale parfaite, provoquent une réaction émotionnelle parce qu’ils sont ancrés dans nos cerveaux. Si l’on regarde les trouble de personnes célèbres, ce que défraient le plus le récit correspondent souvent à l’une ou l’autre de ces structures de base. Prenez la soir de Charlie Sheen, par exemple : c’est le conte caractéristique du «mauvais garçon» –qui se transforme fréquemment à la recherche de rédemption, sur le mode du «Fils prodigue».
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